Allnews

Le discours du président de la Fed laisse la porte ouverte à de nouvelles hausses des taux d’ici la fin de l’année.

Le point d’orgue de la grand-messe des banquiers centraux commence à 14h avec un discours du président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Jerome Powell, forcément très attendu par les marchés.

En revanche, «la plupart des participants ont reconnu qu’il existait toujours des risques» de persistance de l’inflation qui pourraient «nécessiter de resserrer encore la politique monétaire».

Les dernières données de la Fed indiquent une augmentation de 1% après une baisse de 0,8% au mois de juin.

«L’objectif est simple: renforcer le système bancaire et sa résilience avec une meilleure prise en compte des risques», a expliqué Michael Barr. Un avis qui n’est pas partagé par Michelle Bowman et Christopher Waller.

Si l’inflation a été largement résorbée, l’ensemble des spécialistes s’accordent à dire que le plus dur reste à faire.

Lors de la conférence de presse, le président Powell s’est bien gardé de s’avancer sur une hypothèse ou une autre.

la plupart des économiste estime que la Fed devrait encore se laisser la possibilité, pour les mois à venir, de continuer à relever ou bien de sonner le glas de ce cycle de resserrement monétaire.

Credit Suisse a accepté de payer 269 millions de dollars à la Fed et 87 millions de livres au gendarme britannique des marchés (Prudential regulation authority).

Avec FedNow, la banque centrale américaine rattrape son retard par rapport à d’autres pays comme ceux de l’Union européenne.