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La banque centrale américaine a maintenu mercredi ses taux dans la fourchette de 5,25 à 5,50% dans laquelle ils se trouvent depuis un an, une décision prise à l’unanimité.

Maintenant que l’inflation est de nouveau sur la bonne trajectoire, «les responsables de la Fed se concentrent de plus en plus sur les risques pour le marché du travail», commente Nancy Vanden Houten d’Oxford Economics.

L’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab indique 122'000 postes créés ce mois, contre 160'000 attendus.

L’inflation ayant repris sa décrue, les responsables de la Réserve fédérale pourraient signaler demain qu’ils envisagent de lancer le mouvement de reflux des taux lors de la prochaine réunion en septembre.

L’indice du Conference Board s’est établi à 100,3 points, contre 97,8 points en juin, alors que les analystes tablaient sur 99,8 points.

L’indice de l’Université du Michigan fléchit de 2,6% sur un mois, pour s’établir à 66,4 points sur le mois qui se termine.

Loin des habitudes du président sortant Joe Biden, qui privilégie avec Israël les pressions en coulisses, la vice-présidente a déclaré, après avoir rencontré M. Netanyahu, qu’il était temps de mettre un terme à la guerre «dévastatrice».

Les analystes anticipaient une accélération de la croissance mais l’envisageaient plus modeste, à 1,9% pour la période entre avril et juin.

Le mois dernier, 617’000 biens immobiliers neufs ont été vendus en rythme annualisé, en recul de 0,6% par rapport au mois de mai. Les analystes tablaient sur une reprise des ventes, avec 640’000 opérations attendues.

Le candidat du Parti républicain à la présidentielle de novembre «veut ramener notre pays en arrière», a lancé la vice-présidente des Etats-Unis dans une allocution énergique à Milwaukee, dans le Wisconsin, un Etat décisif pour son duel probable contre M. Trump.