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Les pénuries d’approvisionnement et les prix élevés de l’immobilier l’emportent sur la forte demande.

Durant la semaine achevée le 12 novembre, les réserves ont chuté de 2,1 millions de barils, alors que les analystes tablaient sur une hausse de 1,2 million de barils sur la période.

«Pour garantir la pleine confiance et le crédit des Etats-Unis, il est essentiel que le Congrès relève ou suspende le plafond de la dette dès que possible», a souligné la secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen.

Le total des ventes s’est élevé à 638,2 milliards de dollars, soit une augmentation de 1,7% par rapport à septembre.

L’indice Empire State grimpe de 11 points, pour s’établir à 30,9 points alors que les analystes tablaient sur seulement 20,3 points.

L’indice de l’Université du Michigan s’établit à 66,8 points, contre 71,7 en octobre. Les analystes n’avaient pas anticipé un tel plongeon.

Durant la semaine achevée le 5 novembre, les réserves de brut ont progressé de 1 million de barils, alors que les analystes tablaient sur une hausse de 1,6 million.

La hausse des prix s’est élevée à 0,9% le mois dernier contre 0,4% en septembre, selon le CPI. Les analystes attendaient 0,6%. Le renchérissement sur un an est le plus puissant depuis 31 ans.

Les prix à la production des produits fabriqués et services fournis aux Etats-Unis ont augmenté de 0,6% par rapport à septembre, comme attendu.

La décision sur ce programme de près de 1’800 milliards de dollars est désormais espérée «avant la fête de Thanksgiving», soit le 25 novembre, indique Nancy Pelosi.