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La décision s’inscrit dans le contexte du Brexit, ce qui a incité de nombreuses banques à déplacer une partie de leurs activités à Londres.

La perte du premier semestre est due pour l’essentiel à la révision à la baisse de la valeur de sa filiale aux Etats-Unis.

Sans cet élément exceptionnel, le bénéfice net aurait atteint 1,9 milliard d’euros au premier semestre, en baisse de 53% sur un an, souligne la banque.

A 48 millions d’euros, le résultat net est toutefois légèrement supérieur aux prévisions des analystes, qui atteignaient en moyenne 40 millions.

Jos Dijsselhof, CEO, et Daniel Schmucki, CFO, ont été élu respectivement au comité de rémunération et à celui d’audit de l’opérateur de la Bourse espagnole.

Le montant est légèrement supérieur au plafond de quelque 780 millions d’euros initialement annoncé.

La combinaison des deux entités crée le troisième plus grand groupe d’infrastructure du marché financier en Europe.

Du fait de la finalisation probable de l’acquisition fin juin, la consolidation ne se répercutera que sur le bilan et non sur les résultats semestriels.

UBS a vraisemblablement été pris de court par la brusque propagation de Covid-19 pour vendre un de ses biens dans un quartier de Madrid prisé par les entreprises.

La banque a inscrit dans ses comptes une détérioration de son fonds de commerce américain de deux milliards d’euros.