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La tendance à la fermeté est liée à une «vraie incertitude sur le niveau d’inflation l’année prochaine» et la décision des instituts d’émissions «reflète un compromis entre croissance et inflation», indique Fabio Balboni de HSBC.

L’actuel financial research advisor à la division Financial Stability Policy Research auprès de la Fed de New York succède à Andréa Maechler.

La position extérieure nette (essentiellement réserves monétaires et investissements directs) s’est élevée à 751 milliards de francs, en recul de 19 milliards par rapport au trimestre précédent.

La Banque nationale suisse maintient son taux directeur inchangé à 1,75%. De futures hausses ne sont toutefois pas à exclure si cela est nécessaire, précise-t-elle.

A l’avenir, la BNS pourra accorder à toutes les banques domiciliées en Suisse des liquidités en échange de garanties sous formes de créances hypothécaires.

L’OCDE s’attend à ce que le renchérissement culmine à 2,4%. Face à une hausse des prix persistante, la BNS n’aura pas d’autre choix que de resserrer à nouveau sa politique monétaire.

Depuis cette acquisition, la catégorie des grandes banques ne comprend plus que des entités d’un seul et même groupe, note le gendarme monétaire.

UBS a par ailleurs indiqué que Credit Suisse avait entièrement remboursé au 10 août les prêts d’aide supplémentaires sous forme de liquidités.

Selon les économistes d’UBS, l’institut d’émission helvétique devrait subir une perte entre 15 et 25 milliards de francs au second partiel.

De la BNS aux présidences du groupe Mobilière et de l’ASA, en passant par la Bourse suisse et Ringier, Stefan Mäder étale un registre complet.