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Un intérêt précoce dans la blockchain et son écosystème ont fait d’Arab Bank Switzerland une locomotive de l’univers des cryptoactifs. Entretien avec Rani Jabban.

«Les actifs numériques ont connu un processus de maturité et de nombreux investisseurs continuent de voir les possibilités d’utilisation à long terme», explique Martijn Rozemuller, CEO de VanEck Europe.

Pour Alexandre Kech, responsable des titres numériques auprès de SDX, «le succès de cette initiative devrait ouvrir la voie à de futures collaborations avec la BCBE, Aktionariat et leurs bases de clients respectives».

La partie technique et financière de l’extension de la possibilité de paiement en devises numériques est assurée par le spécialiste zougois Bitcoin Suisse.

Timothy Stevenson, Nicolas Reynaud et Gonzague de La Tournelle lancent W3index, afin de proposer aux investisseurs avertis un produit apportant une exposition aux sociétés d’infrastructures opérant sur les blockchain.

La plateforme pour la gestion des actifs numériques institutionnels Harmonize du groupe romand sera associée aux services de développement et d'intégration de solutions blockchain et de smart contracts de l’entreprise allemande.

A la mi-journée, la cryptomonnaie oscille autour de 16’760 dollars, après être passée sous les 15’700 dollars, mais elle enregistre toujours une baisse de près de 10% sur une semaine.

Un petit examen pour prouver que l’on comprend dans quoi on s’engage pourrait bientôt être nécessaire, selon la banque centrale de la ville-Etat qui cherche à empêcher les investisseurs ignorants de se ruiner.

Mercredi à l’approche de la mi-journée, la reine des cryptodevises s’échangeait autour de 19’150 dollars, quasiment sans changement sur une semaine, pour une capitalisation boursière avoisinant les 366 milliards dollars.

Mercredi à la mi-journée, la cryptomonnaie phare affichait un recul de près de 5,2% en rythme hebdomadaire, à 19’150 dollars.