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Encouragés par l'accord sino-US et l'évolution des négociations sur le Brexit, les prix sur les marchés des capitaux ont atteint des niveaux proches de leurs plus hauts annuels.

Le ralentissement de la croissance et le fait que l'effet des baisses d'impôts américaines s'estompe laisseront des traces.

Les attentes des banquiers centraux et des ministres des Finances ne seront pas suffisantes pour assurer la pérennité de l'été indien sur les marchés boursiers.

Depuis le milieu de l'année, l'évolution des rendements tend vers le «risk-on-risk-off».

Le fait que la courbe de rendement soit restée relativement stable après les frappes contre le pétrole saoudien est à la fois encourageant et raisonnable.

L'or profite en fait des coûts d'opportunité négatifs de la détention d'or. A court terme, le métal jaune semble suracheté.

Pour les investisseurs, la réunion de la Banque centrale européenne du 12 septembre sera l’occasion de mettre à profit les tensions sur les taux et les spreads.

Alors que les actions mondiales ont récemment subi des pertes, les investisseurs de type «buy the dip» n'ont pas encore été éliminés.

Une fois encore, les investisseurs ont recherché la «sécurité» dans les obligations d'État.

Plusieurs indicateurs avancés pour les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon et les pays BRIC ont augmenté, alors que les données relatives à la zone euro brossaient un tableau plus contrasté.