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Cette diminution de l’indice CPI, conforme aux attentes des analystes, est principalement due à la chute du prix de l’essence (-20,6%).

Le département du Travail fait état d’une destruction de 20,5 millions d’emplois en avril et de l’envol du chômage à 14,7%.

Le nombre de personnes indemnisées a atteint son plus haut niveau de l’histoire.

Les réserves de brut ont progressé au de 4,6 millions de barils au 1^er mai, alors que les spécialistes tablaient sur une hausse médiane bien plus élevée de 8,8 millions.

Le taux de chômage pourrait avoisiner les 20%, soit deux fois plus que ce qu’avait connu le pays au pire moment de la Grande récession de 2009.

La crise du coronavirus a affecté toutes les catégories d’entreprises, selon ADP. Les analystes s'attendaient toutefois à un chiffre encore plus catastrophique.

Mais même si la BCE réussit à convaincre (ce qui est probable, elle a une armée de bons juristes!) cela risque de limiter ses marges d’action.

«La Réserve fédérale fait tout ce qu’elle peut pour minimiser le nombre de cicatrices», déclare le vice-président Richard Clarida.

Le solde des échanges des biens et services s’est établi à -44,4 milliards de dollars (+11,6%), notamment suite à des exportations en repli de 9,6% à 187,7 milliards.

L’indice ISM est tombé à 41,8%, contre 52,2% en mars. Il passe ainsi, pour la première fois depuis 10 ans, sous la barre des 50%.