L'étude porte sur l'évolution des emplacements dédiés au commerce de détail dans les rues commerçantes des centres-villes de Genève, Lausanne, Berne, Zurich, Bâle et Lucerne.
Le nouveau CBRE Retail Report Switzerland - High Streets a été présenté ce jour par Michael Dressen, Head of Retail Agency CBRE Switzerland, lors d'une courte conférence dans le cadre du salon international de l'immobilier retail MAPIC, qui se tient jusqu’au 15 novembre à Cannes.
L'étude porte sur l'évolution des emplacements dédiés au commerce de détail dans les rues commerçantes des centres-villes de Genève, Lausanne, Berne, Zurich, Bâle et Lucerne.
Au-delà de nombreuses données et informations-clés sur les principales villes suisses et leurs rues commerçantes, des cartes détaillées donnent, en particulier, un bon aperçu de la typologie des locataires d’espaces retail en rez-de-chaussée.
CBRE a analysé plus de 1400 magasins présents dans 30 rues commerçantes des villes précitées. L'étude donne des informations sur les surfaces vacantes, le niveau de loyers, les emplacements ainsi que le développement et la qualité des rues elles-mêmes, aidant ainsi les investisseurs et les utilisateurs à prendre leurs propres décisions d'investissement. Il est à relever que le taux de vacance à Genève est, par exemple, de 0,0% pour la rue de la Confédération, la rue du Marché et la rue de la Croix d’Or. Le rapport offre par ailleurs une excellente vue d'ensemble des tendances du commerce de détail dans les centres-villes de Suisse.
L'étude consacre également un chapitre à la situation du commerce de détail en Suisse et à son cadre macroéconomique.
Dans le contexte de la profonde mutation structurelle mondiale du commerce de détail - qui s'intensifie en Suisse en raison du tourisme d'achat et de la prudence des consommateurs - les principaux résultats permettent d'estimer que la situation évolue positivement, au moins dans les rues étudiées, représentatives des meilleurs emplacements dans les villes helvétiques. Le taux de vacance des rez-de-chaussée dédiés au commerce de détail et à la gastronomie n'est que de 1,5% dans toutes ces rues, montrant qu'il existe toujours une demande pour des surfaces commerciales fixes, bénéficiant d’une situation privilégiée.
Pour accéder à l’étude complète (en anglais), cliquez ici.