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Une approche axée sur la qualité en Europe avec une sensibilité légèrement plus élevée aux taux d'intérêt est probablement avantageuse par rapport aux Etats-Unis.

Le statu quo se profile pour le 9 mai. L'économie britannique commence à montrer des signes de reprise, ce qui pourrait entraîner une nouvelle accélération de l'inflation.

La Réserve fédérale a toujours clairement tendance à réduire ses taux, mais cela ne se produira pas rapidement et une réduction en juillet semble improbable.

La remontée de l’inflation sous-jacente dans les économies développées ne correspond pas à une nouvelle tendance et devrait être corrigée dans les prochains mois. Des baisses de taux directeurs restent donc d’actualité.

La probabilité que le FOMC ne procède à aucune réduction de taux a considérablement augmenté.

L’indice PMI PME de Raiffeisen a de nouveau chuté en avril.

«Après la BNS, la BCE devrait être en mesure d’opérer elle aussi une première baisse de taux en juin, l’évolution de l’inflation ayant récemment été encourageante dans la zone euro», explique Marc Brütsch, économiste en chef de Swiss Life.

La quête de décorrélation entre les différents actifs a été bouleversée par l’environnement économique. Malgré la hausse récente des taux, des solutions alternatives aux obligations et aux actions existent.

Il existe tout un écosystème d'entreprises liées à l'IA, à l'obésité et à la biotechnologie prospérant grâce à cet essor de l'innovation.

Jusqu’à très récemment, l’idée que le surendettement de l’Etat pose problème était presque taboue.