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Moscou choisit le jour de la fête nationale ukrainienne pour bombarder une gare dans le centre du pays, tuant au moins 22 passagers.

Le PIB a augmenté de 1,7% sur un an (donnée corrigée des prix et du calendrier), atteignant le niveau d’avant la crise sanitaire, au moment où les conséquences de la guerre en Ukraine pèsent sur l’industrie.

Les recettes semestrielles ont enflé de 15,4% sur à 514,6 millions de francs. En monnaies locales, la hausse a atteint 12,8%. Toutes les régions ont contribué à cette performance, affichant une progression de plus de 10%.

Les recettes ont grimpé de 127% à 6,03 milliards de francs au cours des six premiers mois grâce «hausses de prix extrêmes sur les marchés de l’énergie», a indiqué le fournisseur d’électricité.

Vers 21h15, la monnaie unique était quasi-stable (-0,03%) face au billet vert, à 0,9967 dollar pour un euro. La devise européenne se reprenait légèrement face à la livre, au franc ou au yen.

Le scénario du pire, avec ses «ouragans de famine» redoutés par l’ONU, a été évité mais les prix restent très élevés et l’inflation menace, soulignent les analystes du marché.

Au terme d’un accord, la filiale d’e-commerce pourra être reprise dans son intégralité par la société britannique Farfetch, en échange de quoi la société genevoise entrera dans son actionnariat.

Le montant total des ordres d’achat s’est élevé à 273,5 milliards de dollars, au même niveau qu’au mois de juin alors que les analystes tablaient sur une légère hausse.

Moscou avertit qu’il n’y aurait «aucune pitié» après l’assassinat, qu’elle attribue aux services ukrainiens, de la fille d’un idéologue proche de Poutine.

Vers 20h40, la monnaie européenne valait 0,9962 dollar, soit 0,19% de mieux que la veille.