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La production propre de cuivre a augmenté de 11% à 1,45 million de tonnes en 2018, tandis que celle de zinc a reculé de 2% à 1,07 million de tonnes.

Les signes laissant présager une embellie sont à peu près contrebalancés par ceux annonçant une détérioration, selon le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco).

L’opération a permis de valoriser la totalité de l’entreprise à 1,75 milliard de dollars.

De nombreux points litigieux restent encore à régler pour enterrer définitivement la hache de guerre.

«Nous sommes satisfaits de cette performance commerciale de +8,9%, réalisée en dépit des incertitudes économiques», a commenté le CEO, Frank Rehfeld.

Les fleurons de Wall Street se préparent également à un divorce acrimonieux entre le Royaume-Uni et l’Union européenne.

La devise européenne valait 1,1444 dollar vers 21h contre 1,1480 mercredi soir.

«Les affaires ont connu un ralentissement sur les trois derniers mois», admet le groupe horloger. Le titre clôture sur un recul de 6,09%.

Les actionnaires se verront offrir un dividende au titre de 2018 relevé à 8,70 francs par bon de jouissance. L'action termine en hausse de 2,54%.

L’indice ISM s’est établi à 56,7 points en janvier, en recul de 7,1 points. Ce ralentissement est plus marqué que celui attendu par les analystes, qui tablaient sur 58 points.