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«Il nous a semblé important de rassembler les membres de l’Ethos Engagement Pool International afin de lancer une campagne de dialogue avec les principaux gérants d’actifs opérants en Suisse», explique Vincent Kaufmann, CEO, Fondation Ethos.

Après un bond de 60% du résultat avant intérêts et impôts (Ebit) pour l’exercice 2024, l’assureur proposera un dividende amélioré à 8,10 francs par action, contre 7,70 francs. L'action grimpe.

Le résultat net s’est ainsi bonifié de 9,1%, quand le produit d’exploitation s’est enrobé de 4,0% à 477,1 millions.

Les deux partenaires ont signé en janvier un protocole d’accord pour créer un champion européen de la gestion d’actifs qui pèsera près de 1'784 milliards de francs.

Cet engagement, annoncé dans le nouveau plan stratégique 2025-2027 présenté par son directeur général Philippe Donnet, vise «plus de 7 milliards d’euros» de dividendes cumulés et un rachat d’actions d’au moins 1,5 milliard d’euros.

Le groupe munichois vise une croissance annuelle moyenne de 7 à 9% de bénéfice par action, contre 5 à 7% sur le plan précédent. Une certaine prudence sur les acquisitions freine toutefois les investisseurs.

La levée de fonds doit générer un afflux de 120 millions de francs, quand les cessions d’objets auront rapporté 120 millions d’euros, a indiqué le directeur général Gerald Klinck.

L’impôt sur le bénéfice des entreprises doit passer de 7 à 6% et le rabais fiscal sur les dividendes accordés aux actionnaires doit être maintenu.

Pannes, dégringolade en Bourse, sortie du CAC 40, comptes dans le rouge, plan de départs... rien n’aura été épargné au prestataire français du paiement Worldline ces neuf derniers mois.

Le bénéfice net part du groupe ressort à 1,6 milliard de livres (1,8 milliard de francs), entre recul de ses revenus et inflation des coûts.