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«Cela permet d’élargir la marge de manoeuvre pour des compromis et des solutions», déclare la secrétaire d’Etat Livia Leu à l’issue d’une rencontre à Bruxelles.

Selon le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), les «relations bilatérales et transfrontalières étroites» et la politique européenne de la Suisse feront partie des sujets de discussion.

Le Conseil fédéral a transmis  au Parlement une mise à jour de l'accord conclu entre Berne et Bruxelles. qui renforce la sécurité dans la circulation des marchandises et améliore la numérisation des procédures douanières.

L’incertitude actuelle pénalise les perspectives de la Suisse, avertit le chef économiste de l’institut BAK, Martin Eichler.

La commission de politique extérieure du National a déposé une motion en ce sens.

Le statu quo n’est pas une option pour Bruxelles; la Suisse ne peut plus avoir le beurre et l’argent du beurre, avertit Petros Mavromichalis.

Comme les problèmes demeurent, le vice-président de la Commission européenne juge nécessaire de mettre en place un cadre général pour les régler.

Selon un diplomate européen, la Commission européenne a affirmé qu’une approche commune était désormais nécessaire.

51% des personnes interrogées par Tamedia l'auraient refusé; seules 35% l’auraient accepté.

Plusieurs partis ont proposé des pistes pour esquisser les futures relations avec Bruxelles.