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Un accord a été conclu avec 360 ONE, une société de gestion de fortune indépendante.

La Suisse défend sa position de leader dans le wealth management international. Mais l’écart avec ses concurrents se réduit, selon Deloitte.

L’opération doit permettre d’optimiser la collaboration avec les entités de banque d’investissement (IB) et de gestion d’actifs (AM).

La gestion de fortune globale (GWM) vise des afflux nets d’argent de 100 milliards par an d’ici à 2025. Le ratio coûts/revenus de l’unité demeure trop élevé.

Du côté des actions c’est la Suisse et ses plus grands titres suisses (Nestlé, Roche, Richemont) qui souffrent le plus.

Fortes de la rigueur avec laquelle elles gèrent leurs avoirs, les fondations de prévoyance et les méthodes qu'elles utilisent, en particulier l'ALM, pourraient venir en aide à la gestion de fortune privée dans la définition des profils de risque des clients.

«Je me réjouis tout particulièrement du fort soutien à la stratégie d’engagement, qui fait partie de l’ADN de notre secteur de la gestion de fortune et dispose encore d’un potentiel important», déclare Philipp Rickenbacher, président de l’ABG.

«Les banques suisses doivent perfectionner leurs canaux mobiles et numériques afin de convaincre les clients de manière individuelle et avec efficacité», souligne Patrik Spiller, à propos de l’étude «Swiss Affluent Clients» menée par Deloitte.

«Nous sommes ravis de nous associer à Quaestor Coach en cette période unique de consolidation structurelle du secteur financier suisse», déclare Dave Elzas, fondateur de GMG.

Selon un document interne consulté mercredi par AWP, le groupe bancaire pourra lancer cette activité au premier semestre 2023.