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Les réserves se sont établies à 531,5 millions de barils au 8 mai, soit une baisse de 700’000 barils. Les spécialistes interrogés par l’agence Bloomberg tablaient sur une hausse médiane de 4 millions de barils.

Les réserves de brut ont progressé au de 4,6 millions de barils au 1^er mai, alors que les spécialistes tablaient sur une hausse médiane bien plus élevée de 8,8 millions.

Les réserves de brut se sont établies à 518,6 millions de barils au 17 avril, soit une augmentation de 15 millions, un peu au-dessus des attentes des analystes.

Les réserves de brut ont augmenté pour la 12^e semaine de suite en grimpant de 19,2 millions de barils par rapport à la semaine précédente. Les analystes envisageaient une hausse médiane de 12,7 millions.

Lors de la semaine achevée le 3 avril, les réserves de brut ont explosé de 15,2 millions de barils, là où les analystes avaient misé sur une augmentation de 9,25 millions de barils.

Lors de la semaine achevée le 27 mars, les réserves de brut ont explosé de 13,8 millions de barils. Les analystes avaient tablé sur une hausse de 3,3 millions de barils.

Lors de la semaine achevée le 31 janvier, les réserves ont progressé de 3,4 millions de barils, un chiffre proche des prévisions des analystes.

Lors de la semaine achevée le 24 janvier, les réserves commerciales de brut ont augmenté de 3,5 millions de barils, là où les analystes avaient anticipé une hausse de 1,3 million.

Lors de la semaine achevée le 17 janvier, les réserves ont reculé de 400’000 barils, là où les analystes avaient anticipé une hausse de 800’000 barils.

Les réserves hebdomadaires de produits raffinés bondissent en revanche au-delà des attentes des analystes.