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Le chiffre d’affaires du groupe anglo-australien a crû de 6% à 27,2 milliards de dollars au cours des six premiers mois de son exercice décalé.

«Pour les investisseurs orientés vers le long terme, notre ETF peut tout à fait convenir comme élément central d’une position américaine dans un portefeuille», explique Martijn Rozemuller, PDG de VanEck Europe.

Tirant profit du repli des charges liées aux dommages des catastrophes naturelles, ainsi que d’une embellie au niveau de ses placements, le réassureur zurichois a dégagé un bénéfice net de 3,21 milliards de dollars.

Le bénéfice net a ainsi fondu de 8,6% à 1,06 milliard de francs, nonobstant une vive croissance des recettes en raison du changement de périmètre. L'action clôture en hausse de 2,8%.

Le bénéfice net part du groupe ressort en hausse de 32% sur un an à 4,4 milliards de livres, pour des recettes en progression de 12% à 14,8 milliards de livres.

La dévaluation du dollar face à la monnaie suisse a notamment pesé sur la performance.

Le résultat d’exploitation de l’établissement régional bernois a grimpé de près d’un tiers notamment grâce au redressement des taux d’intérêt.

Le profit atteint un nouveau «record» à 513,6 millions d’euros, gonflé par ailleurs par la vente de participations dans deux sociétés pour un montant de 53 millions.

L’établissement de Suisse centrale a préféré jouer la prudence plutôt qu’améliorer son profit net.

Entre janvier et décembre 2023, le produit d’exploitation s’est envolé de 12,6% à 674,9 millions de francs, soutenu par la forte progression (+18%) de sa principale activité dans les opérations d’intérêt.