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Les économistes de la grande banque estiment que les trois quarts des gains devraient provenir de la hausse de la valeur du portefeuille en actions et obligations.

Les marchés porteurs depuis le début de l'année ont permis d'effacer les effets négatifs de la collecte.

«Nous avons réalisé un très bon début d’année durant lequel nous avons été particulièrement actifs», s’est réjoui Robin Gordon, CEO d’Interiman Group.

Le développeur genevois de logiciels bancaires, en marge de ses chiffres, avait en outre annoncé avoir très bien démarré le deuxième trimestre.

La deuxième banque américaine en termes d’actifs a dégagé un bénéfice net de 6,87 milliards de dollars au premier trimestre.

Le bénéfice par action trimestriel dépasse les attentes des analystes.

Les recettes liées aux activités de trading sont restées la principale source de revenus de la société et se sont accrues de 7,2% pour atteindre 16,4 millions de francs.

Les résultats du premier trimestre sont en demi-teinte en raison de la faiblesse du courtage. Le titre recule.

Le bénéfice net progresse de 1,9% à 4,71 milliards de dollars au premier trimestre alors que les revenus se tassent.

L’amélioration du bénéfice s’explique notamment par la hausse modérée des coûts des traitements.