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A cette question au centre du contentieux avec Elon Musk, le réseau social a répondu au gendarme des marchés qu’il «(présentait) déjà de façon adéquate» sa méthodologie dans sa communication officielle.

Le patron du fabricant de véhicules électriques se dote d’une sorte d’airbag en cas de mésaventure dans l’affaire en cours sur le rachat de Twitter et l’éventuelle perte de certains de ses soutiens financiers.

La maison mère de l’application de messagerie Snapchat, qui a creusé ses pertes à 422 millions de dollars au deuxième trimestre et annoncé jeudi un ralentissement des embauches, a lâché 39,14% à 9,95 dollars.

«La stratégie de sortie d’Elon Musk est un modèle d’hypocrisie» et un «modèle de mauvaise foi», déclarent les avocats de la plateforme, qui semblent déterminés à en découdre.

L’action finit à 32,65 dollars à la Bourse de New York, soit 40% de moins que ce qu’avait offert le multimilliardaire lorsqu’il avait annoncé son intention de mettre la main sur le réseau social mi-avril.

Le milliardaire annonce que l’acquisition est suspens, en souhaitant des détails sur le nombre de faux comptes, avant d’assurer être «toujours engagé» à mener à bien la transaction.

Le patron de Tesla et de SpaceX a passé un accord définitif avec le conseil d’administration pour racheter le réseau social et en faire une entreprise privée, non cotée en bourse.

«Nous voulons aider les créateurs à transformer leur public en fans, et leurs fans en revenus», a résumé Esther Crawford, directrice des produits de monétisation.

Troisième partie. En Chine, l’œil de Pékin veille à la censure.

Deuxième partie. Evoluer pour remédier aux imperfections de jeunesse?