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Johannes (Hans) Clevers, responsable de la recherche et du développement précoce de Roche Pharma (pRED) prend sa retraite, tandis que Barbara Schädler, responsable de la communication, quitte également le groupe.

La transaction comprend un paiement initial de 800 millions de dollars, auquel s’ajoute potentiellement 900 millions en cas du franchissement d’étape réglementaire future.

L’opération porte sur l’intégralité du capital-actions en circulation de la cible reprise, d’une valeur nominale d’un dixième de cent chacune et pour lesquelles Novartis propose 7 dollars pièce.

La transaction comprend un paiement initial de 800 millions de dollars (soit 660 millions de francs au cours actuel), auquel s’ajoute potentiellement 900 millions en cas du franchissement d’étape réglementaire future.

Les analystes tablaient sur de meilleures ventes, à 2,52 milliards de dollars. L’action décroche de 7,6%.

Alors que les grands groupes reprennent des couleurs à la bourse suite à leur coup de froid de lundi, les intermédiaires comme CVS Health, Cigna ou UnitedHealth restent groggy à Wall Street.

«L’Europe va devoir payer un peu plus, le reste du monde va devoir payer un peu plus et l’Amérique va payer beaucoup moins», déclare le président des Etats-Unis.

Après avoir nettement reculé, Roche et Novartis limitent la casse en clôturant en hausse de 1,6% et 0,8%. Par contre, le sous-traitant Lonza lâche 1,5% et le géant des traitements génériques Sandoz cède 0,6%.

Une nouvelle usine sera érigée à Holly Spring en Caroline du Nord pour la production de traitements du métabolisme. Parallèlement, le site de diagnostic d’Indianapolis sera étendu d’ici 2030.

Le géant pharma suisse acquiert Regulus Therapeutics, une biotech basée à San Diego en Californie et cotée au Nasdaq.