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Le Brent termine sur une perte de 2,00% à 110,23 dollars et le WTI finit sur un recul de 1,62% à 104,24 dollars.

«Si l’Opep+ n’existait pas, nous ne pourrions pas avoir de stabilité sur le marché de l’énergie (...), la volatilité des prix serait encore pire», déclare le prince Abdulaziz ben Salmane au Sommet de Dubaï.

Le Brent termine sur une dégringolade de 6,77% à 112,48 dollars et le WTI finit sur une chute de 6,97% à 105,96 dollars.

Les membres de l’Opep+ refusent pour l’instant d’augmenter significativement leur production pour soulager le marché, se tenant au relèvement graduel de 400’000 barils par jour chaque mois.

Le Brent repasse la barre des 120 dollars, avec une montée de 1,36% à 120,65 dollars, et le WTI termine sur un gain de 1,42% à 113,90 dollars.

Le Brent termine sur une perte de 2,11% à 119,03 dollars et le WTI finit sur une baisse 2,26% à 112,34 dollars.

Le Brent termine sur un bond de 5,29% à 121,60 dollars et le WTI finit sur une poussée de 5,17% à 114,93 dollars.

Durant la semaine achevée le 18 mars, les réserves de brut ont fondu de 2,5 millions de barils, soit plus du triple des 750’000 barils attendus par les analystes, pour s’établir à 413,4 millions de barils.

Le Brent termine sur une baisse de 0,12% à 115,48 dollars et le WTI finit sur une perte de 0,32%, à 111,76 dollars.

Tel est le constat d’un consortium scientifique britannique, qui prône parallèlement un délai plus clément pour les pays les plus pauvres.