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Après des décennies de relative stabilité, depuis une quinzaine d'année l'Opep et les producteurs de gaz de schiste ont perdu leur place dominante sur le marché pétrolier.

Les projections pour l’année prochaine révèlent un problème conséquent à moyen terme: la perte de puissance des modèles de croissance à travers le monde.

Même si la guerre prend fin demain, il faudra des années pour que la Russie et l'Ukraine se redressent. Plus la guerre se prolonge, plus les dommages seront importants.

La façon dont les responsables politiques sauront les prendre aura des conséquences sur la santé à long terme de l’économie, la cohésion sociale et la stabilité financière.

La réponse évolutive du Royaume-Uni à la pandémie de COVID-19 souligne notamment la nécessité de maintenir un état d'esprit ouvert.

L’intensification des incertitudes exige une réponse politique qui s’étend au-delà des attributions traditionnelles des banques centrales.

L'insécurité et l'instabilité économique et financière dont on se plaint aujourd'hui ne sont rien en comparaison de ce qui pourrait suivre.

L’économie a bâti des fondations suffisantes pour permettre à la confiance de faire son retour dans le secteur privé.

Le Forum économique mondial de Davos semble avoir de nouveau manqué une opportunité d’exprimer pleinement son potentiel considérable.

Les jours de l'accélération de la mondialisation économique et financière et des modes de croissance corrélés quasi incontestés sont révolus.