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Le président Jerome Powell juge «peu probable que le Comité atteigne, d’ici la réunion de mars, un niveau de confiance» suffisant pour commencer à réduire ses taux.

L’Afro-américain de 62 ans est prêt à payer 28,58 dollars par action avec droit de vote et 21,53 dollars pour chaque titre sans droit de vote. A Wall Street, l’action décolle de 8% à 14,78 dollars.

Alors qu’inflation et croissance dépassent les attentes, et que l’emploi semble enfin se détendre, les spéculations sur le timing du retournement monétaire s’intensifient. Des éléments de réponse ce soir vers 20h30.

Alors que les analystes tablaient sur 140’000 créations de postes, ADP en recense seulement 107'000, contre 158'000 en décembre.

Les marchés s’attendent à plus de 97% à ce que le Comité de politique monétaire de la Réserve fédérale laisse les taux inchangés pour la troisième fois d’affilée. Inflation et croissance déjouent les pronostics.

L’indice du Conference Board a grimpé à 114,8 points, au plus haut depuis décembre 2021, après 108 points le mois dernier (révisé en baisse). Ce niveau est proche des attentes.

Baromètre privilégié par la Réserve fédérale, l’indice PCE sur un an se maintient à 2,6%.

La progression du PIB s’inscrit à 2,5% pour l’année qui vient de se terminer, contre 1,9% l’année précédente, selon la première estimation du département du Commerce. Pas de récession.

Leurs avantages en termes de revenus et leur volatilité réduite font de ces titres une option prudente pour les investisseurs confrontés à un paysage économique difficile.

L’indice de l’Université du Michigan grimpe jusqu’à 78,8 points, soit 13% de plus qu’en décembre. Les analystes tablaient sur une stagnation à 69,7 points.