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Devant la Chambre des représentants, le patron de la Fed rappelle que la confiance des ménages est «forte», que le chômage est à un plus bas en 50 ans et que les salaires augmentent.

La président de la Fed signale que «la dette s’accroît plus vite que l’économie». Une économie américaine dont il a toutefois livré un tableau globalement positif.

Les analystes tablaient sur une hausse un peu moins forte (+0,3%).

L’indice de l’Université du Michigan s’est établi à 95,7 points contre 95,5 points à fin octobre, dépassant les attentes des analystes qui tablaient sur un léger recul à 95 points.

De juillet à septembre, la productivité (hors secteur agricole) a progressé de 1,4%, alors que les analystes s’attendaient à une avancée de 1%.

L’indice ISM s’est établi à 54,7%, soit 2,1 points de pourcentage au-dessus de son niveau de septembre. Les analystes s’attendaient à une croissance moins soutenue, à 53,3%.

Le solde des échanges des biens et services s’est établi à -52,45 milliards de dollars en septembre, soit 4,7% de moins qu’en août.

Le membre de la Réserve fédéral, qui est un des deux membres du FOMC à avoir voté contre la baisse des taux, estime que l’économie US n’a pas besoin de davantage de soutien monétaire.

Cet objectif devrait être atteint en mettant l’accent sur les clients super-riches, a indiqué Tom Naratil, coresponsable de la division Wealth Management.

La grève chez GM a affecté le taux de sans-emploi. Les créations d’emplois sont restées solides.