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L’indice mesurant leurs attentes quant à l’inflation a grimpé en mai à un plus haut historique, selon une enquête de la Fed.

L’indice de l’Université du Michigan s’établit à 86,4 points, contre 82,9 points en mai. Les analystes tablaient sur une montée à seulement 83,5 points.

Principale cause de la hausse de l’indice CPI, les prix de l’essence bondissent de 56,2%. Toutefois sur un mois, ils sont en léger recul, de 0,7%.

Entre le 30 mai et le 5 juin, 376’000 personnes ont déposé une demande d’allocations, soit 9’000 de moins que la semaine précédente. Les analystes tablaient sur 365’000 nouvelles inscriptions.

Pékin se plaint depuis longtemps de l’application extraterritoriale du droit américain via des sanctions et des restrictions commerciales.

Lors de la semaine achevée le 4 juin, les réserves de brut ont chuté de 5,2 millions de barils, alors que les analystes s’attendaient à un repli de 3,5 millions.

Le déficit des biens et services est tombé à 68,9 milliards de dollars, un peu plus qu’attendu, reculant de 8,2%, avec des importations en baisse de 1,4% et des exportations en hausse de 1,1%.

Le taux de CO₂ dans l’atmosphère a atteint en mai un plus haut depuis qu’il a commencé à être mesuré il y a 63 ans.

L’économie a créé 559’000 emplois en mai, alors que les analystes tablaient sur 720'000 postes. Le taux de chômage repart quant à lui à la baisse.

Le projet de faire passer le taux à 28%, contre 21% actuellement, serait détaché des négociations sur le plan d’infrastructures.