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Il semble probable que les tensions de la chaîne de production ralentissent le dynamique à court terme.

La hausse des taux européens a surtout été due à un effet d’entraînement de la hausse des taux américains.

Sous de nombreux angles, la situation en zone euro semble s’améliorer.

Le «fléchage» de l’augmentation de la masse monétaire induit par les différents plans de relance pourrait permettre d’enfin relancer une inflation qui concernerait l’économie réelle.

Comme attendu par le consensus de marché, les taux directeurs sont restés inchangés et le programme de rachats d’actifs a été augmenté de 500 milliards d’euros.

Incontestablement, le secteur technologique est un des grands bénéficiaires de la crise et la consommation en ligne n’a jamais été aussi florissante.

Les mesures contre le COVID-19 en Europe sont suffisamment nombreuses et concomitantes pour réactiver la peur d’une paralysie économique et plonger les marchés dans le rouge.

Si de nombreuses incertitudes planent à l’horizon, la situation paraît moins fragile qu’à la fin du mois d’août.

Le Nasdaq a chuté en fin de semaine dernière en abandonnant plus de 9%. Les géants de la tech ont été attaqués, entraînant l’ensemble des marchés américains, puis mondiaux.

Depuis le début du mois, le marché des actions chinoises domestiques, mesuré par l’indice Footsie China A 50, a connu des variations très brutales.