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L’organisation a dans la foulée abaissé ses prévisions de la demande pour 2022.

La directrice générale Kristalina Georgieva cite la pression sur les prix alimentaires et l’énergie ainsi que la dégradation de la confiance des ménages et des entreprises.

Les économistes de l’institut bâlois pointent surtout la perte de pouvoir d’achat et tablent sur une croissance du PIB ralentie à 2,6% cette année, contre 3,1% dans leurs précédentes estimations.

Le produit intérieur brut a augmenté de 7% en rythme annualisé, contre 6,9% initialement annoncés, selon la deuxième estimation publiée jeudi par le département du Commerce, qui est conforme aux attentes.

Poussée par un ensemble de facteurs liés à la pandémie, l’inflation a atteint, aux Etats-Unis, 7,5% sur un an en janvier, son rythme le plus rapide en près de 40 ans.

Dans sa nouvelle estimation mensuelle, l’institut de conjoncture table désormais sur une progression du PIB de 3,1% pour l'année en cours.

Le variant Omicron pousse l’Insee à revoir à la baisse sa prévision de croissance de l’économie française.

Le PIB de a enregistré une croissance historique de 5,2% l’an dernier, comme dans l’ensemble de l’UE, en ligne avec les prévisions de Bruxelles, selon une première estimation publiée lundi par Eurostat.

Le département du Commerce annonce une progression du PIB de 5,7% pour l’an dernier, grâce aux dépenses des ménages (+7,9%) et aux investissements internes des entreprises (+9,5%).

Dans sa dernière étude économique de la Suisse, l’OCDE indique que la crise a renforcé la nécessité de réduire les obstacles à la concurrence et au commerce.