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«Credit Suisse a dépensé 7 milliards de dollars pour des amendes, des accords amiables et la restructuration. Cet argent est perdu pour toujours», a déclaré le CEO au SonntagsBlick.

«La partie de notre chiffre d’affaires qui est à risque est seulement de 2%», a indiqué le CEO de la banque dans «L’Agefi».

Cette note vaut aussi pour les autres sociétés opérationnelles de la banque. La perspective est «stable» pour toutes les unités.

Pose de jalons en Suisse, décision d’orientation en Europe et mouvements tectoniques dans le monde entier.

Le rapport «Créer un monde avec la Next Generation» analyse ce que signifie ce changement générationnel pour le secteur de la gestion de fortune.

On the move: Supertrend «Infrastructure». Implications pour les investisseurs?

Le Tribunal des prud’hommes genevois a estimé que le licenciement du banquier en 2014 était abusif.

Pour la première fois depuis 2015, l’indice suisse des directeurs d’achat (PMI) mesuré par Credit Suisse et procure.ch est tombé en avril sous le seuil de croissance.

La banque offre à ces dernières un large éventail de services et les aide à renforcer leur engagement en faveur de leurs objectifs sociaux.

Urs Rohner a remercié les actionnaires qui ont participé à l’Assemblée générale annuelle d’avoir approuvé toutes les propositions.