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La Banque centrale européenne maintiendra ses taux directeurs inchangés ce jeudi, prenant soin de ne pas s’engager sur les orientations futures de sa politique monétaire.

Les partis de droite s’assurent le plus grand nombre de sièges mas leur principale composante – le Rassemblement National – n’est pas en mesure de participer à une coalition avec le centre.

Selon une étude de Carmignac, contenir le réchauffement climatique sous la barre des 1,5 °C pourrait ajouter 1,6% à l’inflation annuelle au cours de la prochaine décennie.

Il s’agit d’associer des actifs «décorrélants» pour la partie risquée et des secteurs à forte visibilité au sein des actifs les moins risqués, selon Kevin Thozet de Carmignac.

En dépit du récent mouvement de repentification de la courbe de taux, cela fait plus de 2 ans que nous évoluons avec des taux courts sensiblement plus élevés que les échéances les plus longues.

Ce jeudi, nous devrions voir un premier pas visant à réduire le caractère restrictif de la politique monétaire, avec une diminution de 25 points de base des taux directeurs.

Les changements de décennie depuis plus d’un demi-siècle ont coïncidé avec un changement de leadership sur les marchés boursiers mondiaux.

Les signes indiquant que la BCE pourrait commencer à réduire ses taux avant la Fed devraient permettre aux volumes de ventes et aux bénéfices des entreprises d’augmenter.

Exemple avec l’Inde, les Etats-Unis et la France, où les déficits y sont d’ampleurs comparables, mais leurs natures sont très différentes.

Sous sa présidence, le secteur bancaire indien a été assaini et on lui attribue également les réformes sociales et de protections sociales qui ont contribué au développement du pays.