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Avec des électeurs divisés et en colère, le résultat du 3 novembre sera déterminant, mais pas pour les marchés financiers.

Il est important de soutenir les dirigeants européens qui ne se contentent pas de soulager les difficultés immédiates.

Lorsqu'un profond malaise social apparaît, les marchés financiers semblent totalement incapables d'y faire face.

Le mois de juin nous permettra de nous faire une idée de la vitesse à laquelle la demande pourrait se redresser.

…et pourquoi les obligations et les actions ne sont peut-être pas évaluées de manière si différente.

Les marchés émergents semblent malmenés. Mais des rendements, même faibles, peuvent se révéler intéressants.

Les différences fondamentales entre Washington et Pékin ne disparaîtront pas, mais leur rivalité va perdre en intensité.

La reprise des marchés pourrait offrir quelques signaux sur ce qui nous attend.

Les données économiques sont toujours à la traîne. Les investisseurs devraient plutôt se pencher sur la psychologie de la reprise.

Cette crise serait probablement bien pire sans les prestidigitateurs de la Fed.