Les systèmes bancaires des pays du CCG devraient être en mesure d'absorber les sorties de capitaux étrangers sans l'aide des pouvoirs publics dans un scénario de crise hypothétique modeste.

Cependant, dans notre scénario de crise hypothétique plus sévère, nous prévoyons des déficits de financement dans tous les systèmes bancaires, à l'exception du Koweït, les banques qatariennes et bahreïniennes ayant le plus besoin de soutien en proportion du PIB.

La plupart des gouvernements des pays du CCG possèdent des liquidités et des réserves de change suffisantes pour soutenir les banques dans le cadre de nos scénarios de crise hypothétiques, mais un tel soutien pourrait peser sur les profils fiscaux et extérieurs de certains souverains.