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La présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde a pour objectif impératif de ramener l’inflation à 2%.

Selon une étude du Centre de recherche sur le public et la société de l’Université de Zurich, plus d’un tiers des Suisses affirme éviter «parfois» ou même «activement» les nouvelles.

Près de 41’500 personnes ont achevé leur réadaptation professionnelle l’an dernier. Parmi elles, 45% ont pu intégrer le marché du travail, et 15% peuvent retravailler, mais n’ont pas encore trouvé d’emploi.

La progression du produit intérieur brut (PIB) en 2024 doit ainsi atteindre 1,2%, contre 1,1% évoqué il y a mois, hors évènements sportifs.

Cette légère hausse sur les trois premiers mois de l’année ne devrait pas réussir à compenser l’inflation, qui a oscillé entre 1,3% en janvier et 1,0% en mars, avant de grimper à 1,4% en mai.

La nouvelle étude présentée par digitalswitzerland et economiesuisse, en collaboration avec Accenture, souligne l’importance des technologies numériques pour atteindre l’objectif climatique de la Suisse d’ici à 2030.

Le KOF prévoit pour l'année en cours une augmentation du produit intérieur brut (PIB) réel corrigé des évènements sportifs de 1,2% (1,6% en les incluant).

En mai, les ventes au détail - un indicateur clé des dépenses de consommation - ont progressé de 3,7% en glissement annuel, après une hausse de 2,3% en avril.

Vers 20h30, la monnaie unique recule de 0,39% par rapport au billet vert à 1,0695 dollar pour un euro, au plus bas depuis un mois et demi.

Le métal jaune a repris des couleurs cette semaine, alors que les pressions inflationnistes s’affaiblissent aux Etats-Unis, entretenant l’espoir d’une baisse des taux d’intérêt.