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Le Nikkei, qui avait déjà dévissé de 5,8% vendredi, s’est effondré de 12,4%, battant son précédent record qui remontait au krach boursier d’octobre 1987. Le Topix a sombré de 12,23% à 2.227,15 points.

Le Dow Jones a cédé 1,51% à 39.737,26 points, le Nasdaq a perdu 2,43% à 16.776,16 points. Le S&P 500 a cédé 1,84% à 5.346,56 points.

Londres prend 1,13%, aidée également par l’avancée des prix du pétrole. Paris monte de 0,76% et Francfort de 0,53%. En revanche, Milan cède 0,42.

Les réserves commerciales fondent de 3,4 millions de barils lors de la semaine achevée le 26 juillet, alors que les analystes tablaient sur une baisse de seulement 1,10 million de barils.

Vers 16h20, le Dow Jones grignote 0,15%, le Nasdaq grimpe de 2,26% et le S&P 500 monte de 1,44%.

Après deux interruptions ce mercredi, l’opérateur SIX a indiqué que le négoce des actions, fonds et produits structurés allait reprendre à 14h30 et celui des obligations à 15h.

Vers 13h00, le Brent, dont c’est le dernier jour de cotation, grimpe de 2,51% à 80,60 dollars et le WTI se hisse de 2,97%, à 76,95 dollars.

Dow +0,50%, S&P 500 -0,50%, Nasdaq -1,28%, Russell +0,35%, SOX -3,88%, Eurostoxx +0,53%, SMI +0,55%.

Le Nikkei 225 a bondi de plus de 1% mercredi grâce à une réduction des achats d'obligations plus faible que prévu de la Banque du Japon.

Après avoir ouvert dans le rouge, l’indice vedette de la capitale nippone a clôturé en hausse de 1,49% à 39.101,82 points et l’indice élargi Topix a gagné 1,45% à 2.794,26 points.