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Julien Eberhardt, gérant obligataire auprès d’Invesco, est réticent à prendre davantage de risque. Il trouve toutefois de la valeur dans les «gilts» et certains titres chinois.

Hendrik Leber, fondateur d’ACATIS, livre ses impressions de retour d’Omaha, déclare s’attendre à une nouvelle baisse et modifie son allocation géographique.

Les futures stars de la tech sont très probablement chinoises, analyse Maxime Dupuis, adjoint au Directeur des Investissements chez ODDO BHF Asset Management.

Nicolas Liégeois, expert chez Pictet, recense au moins trois thématiques centrales dans le contexte géopolitique actuel.

Il y a de bonnes raisons de penser que les flux d’investissement vers les actions européennes se poursuivront, estime Jon Levy de Loomis Sayles.

L’instabilité actuelle des marchés incite à préférer des modèles d’affaires plus défensifs et peu exposés aux exportations américaines, selon Remo Rosenau de Helvetische Bank.

Le rendement obligataire depuis le début de l’année est un bon indicateur de performance future de la classe d’actifs, selon Manon Duez, de Vanguard.

Les signes concrets d’une récession aux Etats-Unis renforceront la hausse de l’or, selon John Reade, du World Gold Council.

Les stablecoins représentent un excellent moyen de transférer de l’argent, selon Franz Bergmüller, CEO d’AMINA Bank, qui présente les prochaines étapes de son établissement.

Le risque d’une récession modérée est de 40 à 45%, avec des perspectives de croissance économique et de profits à 0. Mais rien n’est encore fixé, estime Gérald Moser de LGT Bank.