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L’indicateur GFK du commerce de détail s’inscrit en baisse 0,5% par rapport au premier semestre 2023. Le secteur non alimentaire affiche un recul de 4%.

Corrigés de l’effet des jours ouvrables et des jours fériés, ils ont perdu 3,4% en termes nominaux sur un an. En termes réels, soit compte tenu de l’inflation, ils ont baissé de 2,2%, rapporte l'OFS.

En tenant compte des variations saisonnières, ils ont fléchi en l’espace d’un an de 0,3% en termes nominaux.

Au total, les ventes ont augmenté de 0,5% pour atteindre 103 milliards de francs. La croissance démographique et l’évolution positive du secteur alimentaire ont notamment contribué à cette progression.

En tenant compte de l’inflation et des variations saisonnières, ils ont augmenté de 2,3% en nominal sur un an ou 2,7% en termes réels, indique l’Office fédéral de la statistique (OFS).

En tenant compte de l’inflation et des variations saisonnières, ils ont fléchi de 0,4% sur un an, indique jeudi l’Office fédéral de la statistique (OFS).

Dans son baromètre conjoncturel, GfK souligne que le commerce de détail a encore une fois été influencé par un comportement d’achat prudent et un climat de consommation inférieur à la moyenne.

Corrigées de l’effet des jours ouvrables et fériés, les recettes du commerce de détail, stations-service mises à part, ont progressé de 0,1% en termes nominaux en février sur un an, et de 0,2% en termes réels.

La confiance des consommateurs «progresse très lentement», observe Rolf Bürkl, expert du GfK.

Les revenus liés aux denrées alimentaires, boissons et tabac ont pris 1,9% en termes nominaux et ceux du secteur non alimentaire ont progressé de 0,6% en termes nominaux.