Novartis s’associe à Alnylam pour la régénération du foie

AWP

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Dans le cadre de cette collaboration, Alnylam va mettre à contribution sa technologie des petits ARN interférents («small interfering RNA» ou Sirna).

Novartis s’est associé à la société biopharmaceutique américaine Alnylam pour développer un traitement ciblé permettant de soutenir la production de cellules du foie, apportant ainsi une potentielle alternative à la transplantation de cet organe.

Dans le cadre de cette collaboration, Alnylam va mettre à contribution sa technologie des petits ARN interférents («small interfering RNA» ou Sirna), a précisé le groupe pharmaceutique bâlois jeudi dans un communiqué.

Le laboratoire américain va tester le potentiel de sa technologie Sirna sur une durée de trois ans et tenter d’identifier un potentiel médicament. Novartis devrait ensuite mener des recherches cliniques sur ce traitement.

La maladie du foie en phase terminale (ESLD) est souvent la conséquence d’un cirrhose et se caractérise par la destruction progressive des cellules de cet organe. Environ 1 million de personnes dans le monde en décèdent chaque année. Pour y remédier, la transplantation d’organe est actuellement la seule option thérapeutique.

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