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Selon Bloomberg mercredi soir, la société américaine de capital-investissement a retiré sa demande auprès des autorités cartellaires européennes.

Dans le capital-investissement, Partners Group «estime que les droits de douane entraîneront une baisse de 1 à 3% de l’Ebitda (bénéfice opérationnel brut) agrégé sur son portefeuille direct, pondéré de la valeur nette d’actif (NAV)».

Le gestionnaire d’actifs zougois occupera deux sièges au conseil d’administration de cette société.

La transaction valorise Greenlink à plus d’un milliard d’euros (961 millions de francs).

Pour parvenir à ce résultat, le groupe entend continuer à développer sa plateforme d’investissement transformationnelle dans ses cinq catégories d’actifs de marchés privés.

Les recettes progressent de 10% à 2,14 milliards de francs, alors que les dépenses opérationnelles augmentent de 9% à 778 millions. L'action clôture en baisse de 1,7%.

L’an dernier, David Layton a touché près de 17 millions de francs, contre 7 millions en 2023. Les versements à la direction dans son ensemble ont également été multipliés par plus de deux à 70 millions.

Le gestionnaire d’actifs compte investir jusqu’à 1,2 milliard de dollars australiens pour le transformer en une plateforme de nouvelle génération, en raison notamment de la montée de l’intelligence artificielle (IA).

Les actionnaires se prononceront sur la candidature de l’ancien directeur de la Finma, lors de l’assemblée générale prévue le 21 mai.

Avec l’engagement du gestionnaire d’actifs et un financement complémentaire par emprunt, l’entreprise de l’Allgäu disposera de plus de 1 milliard d’euros «pour investir dans la transition énergétique en Europe».