La société dirigée par Robert Armstrong annonce l'acquisition de programmes anti-infectieux et l'ajout de programmes de médicaments à son portefeuille de produits.
Boston Pharmaceuticals, société appartenant au portefeuille du fonds fermé de la famille Bertarelli Gurnet Point Capital, spécialisé dans le domaine de la santé, a annoncé aujourd'hui deux développements majeurs:
- L'acquisition auprès de Novartis de trois nouveaux programmes anti-infectieux, qui apportent de nouvelles solutions aux infections causées par les agents pathogènes Gram-négatifs résistant aux médicaments;
- Et l'ajout de cinq nouveaux programmes de médicaments à son portefeuille de produits, dans le cadre d’un accord de licence conclu avec GSK.
Boston Pharmaceuticals est une société biopharmaceutique de stade clinique qui développe un portefeuille de candidats cliniques de valeur élevée répondant à d'importants besoins médicaux non satisfaits. Avec une allocation initiale de 600 millions de dollars US, la société s'associe à des sociétés biotechnologiques et pharmaceutiques innovantes et à des groupes académiques, en vue d’acquérir ou ou d’exploiter les licences de candidats au développement qui se trouvent dans les dernières étapes du développement pré-clinique jusqu’aux premiers stades du développement clinique.
La société a été créée en 2015 en tant que filiale de Gurnet Point Capital, un fonds spécialisé dans le domaine de la santé avec une approche unique. Le fonds a été lancé en 2014 par Ernesto Bertarelli et il est dirigé par Christopher A. Viehbacher, l’ancien CEO de Sanofi. Basé à Cambridge, Massachusetts, et avec un bureau à San Francisco, Gurnet Point Capital dispose d'une allocation initiale de 2 milliards de dollars. Elle agit sur un plan global, englobant aussi bien les sciences de la vie que les technologies médicales. Le fonds investit à toutes les étapes de développement du produit jusqu'à la commercialisation, avec une approche hybride de stratégies d'investissement en capital-risque et en capital-investissement. Il est régi par un principe directeur selon lequel toute technologie, si précoce soit-elle, doit présenter un argument commercial clair, au bénéfice des patients ainsi que du système de santé dans son ensemble.