Jupiter: rebranding du fonds sur le secteur financier

Communiqué, Jupiter

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«L'industrie des services financiers est une bête complètement différente de ce qu'elle était il y a cinq ans», constate le gestionnaire Guy de Blonay.

Le gestionnaire d'actifs coté Jupiter rebaptise la SICAV Jupiter Global Financials. Avec effet immédiat, le fonds s'appelle désormais Jupiter Financial Innovation SICAV dans le but de continuer à tirer parti de la transformation numérique du secteur des services financiers. Le fonds est géré par Guy de Blonay, vétéran de la finance, depuis 2015. Il considère le changement structurel dans le secteur financier comme une opportunité à long terme sans précédent et est particulièrement confiant à l'égard des entreprises qui, selon lui, façonneront et domineront l'avenir de la finance. Le but et l'objectif de placement du fonds sont mis à jour en conséquence. 

Le fonds a naturellement évolué au fil du temps pour inclure des sociétés provenant d'un bassin d'occasions de placement qui s'est élargi au-delà des sociétés financières traditionnelles. Avec ces changements, Guy de Blonay recevra un mandat clair pour affecter de manière proactive ces innovations axées sur la technologie financière, dans la chaîne complète des services financiers. 

Le fonds visera une croissance du capital à long terme en investissant dans des actions et des titres de participation liés à l'innovation financière. Le gestionnaire se concentrera sur les entreprises de services financiers traditionnels qui adoptent la transformation numérique (les adoptants) ainsi que sur les innovateurs perturbateurs qui apportent au secteur des solutions technologiques financières telles que le financement mobile, l'analyse de données, les paiements et l'infrastructure financière (catalyseurs). Les sociétés du fonds qui reflètent ces deux thèmes comprennent des noms traditionnels tels que JP Morgan Chase ainsi que des sociétés fintech telles que PayPal. 

Guy de Blonay, qui a plus de 17 ans d'expérience dans le domaine financier, a déclaré: «L'industrie des services financiers est une bête complètement différente de ce qu'elle était il y a cinq ans. Des clients de plus en plus sophistiqués s'attendent maintenant à un service continu et numérique et n'ont pas peur de se tourner vers de nouveaux concurrents si les noms traditionnels ne sont pas à la hauteur. Avec les changements de notre portefeuille, nous pensons être mieux placés pour tirer parti de la transformation numérique en cours et irréversible du secteur des services financiers.» 

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