Allocations à long terme: nous sommes favorables à la réduction des allocations à long terme aux obligations d'État nominales et à l'augmentation de celles aux actifs à risque dans le sillage de la pandémie.

Rallye des actions: les actions mondiales ont clôturé en avril avec leur plus forte hausse mensuelle depuis 2011 au milieu des discussions sur la réouverture prudente des économies.

Surveillez le stress: le sondage de cette semaine auprès des hauts responsables des prêts de la Réserve fédérale est un indicateur important du stress financier.

Le choc du coronavirus a déclenché des turbulences sur le marché au cours des trois derniers mois. Cela représente-t-il un besoin et une opportunité pour les investisseurs à long terme ? Nous le pensons – sur la seule base des dislocations de prix et en considérant les changements potentiels des fondamentaux à moyen terme. Notre principale conclusion: nous privilégions la réduction des allocations nominales des obligations d’État et des allocations plus importantes aux actifs à risque.