OCDE: hausse de l’emploi au troisième trimestre 2018

Communiqué, OCDE

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Dans la zone OCDE, 570 millions de personnes avaient un emploi, soit une progression à 68,4%.

Le taux d’emploi de la zone OCDE – la part des personnes en âge de travailler ayant un emploi - était en hausse de 0.1 point de pourcentage au troisième trimestre 2018, à 68,4%. Dans la zone OCDE, 570 millions de personnes avaient un emploi au troisième trimestre 2018. 

Dans la zone euro, le taux d'emploi continuait d'augmenter au troisième trimestre 2018 (de 0,2 point de pourcentage) à 67,4%, avec des hausses de 0,5 point de pourcentage ou plus en Belgique, en Lettonie, aux Pays-Bas, en République slovaque et en Lituanie. Une baisse n’était enregistrée qu’en Italie (baisse de 0,2 point de pourcentage, à 58,6%, après une hausse de 0,6 point de pourcentage au trimestre précédent).

Taux d’emploi des femmes en hausse. Stabilité pour celui des hommes.

En dehors de la zone euro, le taux d’emploi était en hausse (jusqu’à 0,3 point de pourcentage) au Canada, au Japon, en Turquie et aux États-Unis. Au Mexique, le taux d'emploi était stable, tandis qu’il était en baisse au Danemark et au Royaume-Uni (de 0,2 point de pourcentage) et en Corée (de 0,1 point de pourcentage). Au Chili, le taux d'emploi diminuait de 0,5 point de pourcentage.

Le taux d’emploi des femmes de la zone OCDE était en hausse de 0,2 point de pourcentage, à 61,0% au troisième trimestre 2018, tandis que celui des hommes était stable à 76,0%. En conséquence, l’écart entre ces deux taux a baissé à 15,0 points de pourcentage, le plus petit écart observé depuis que des données pour ces deux séries sont disponibles pour la zone OCDE (le premier trimestre 2005). Depuis 2005, dans la zone OCDE dans son ensemble, la baisse cumulée de cet écart hommes-femmes dans l’emploi est de 4,1 points de pourcentage, avec des baisses importantes au Japon (baisse de 8,1 points de pourcentage) et dans la zone euro (baisse de 5,8 points de pourcentage).

 


b: Rupture de série
 (1) Rupture dans les enquêtes sur les forces de travail de la Belgique en T1 2017; du Danemark en T1 2016 et en T1 2017; de la France en T1 2014; de l'Irlande  en T3 2017; du Luxembourg en T1 2015; et de la Turquie en T1 2014. Certaines de ces ruptures affectent, dans une certaine mesure, les agrégats pour l’Union européenne, la zone euro, les Sept grands et l’OCDE-Total.

 

(1) Rupture dans les enquêtes sur les forces de travail de la Belgique en T1 2017; du Danemark en T1 2016 et en T1 2017; et de l'Irlande en T3 2017. Certaines de ces ruptures affectent, dans une certaine mesure, les agrégats pour l’Union européenne, la zone euro et l’OCDE-Total.

 

(1) Rupture dans les enquêtes sur les forces de travail de la Belgique en T1 2017; du Danemark en T1 2016 et en T1 2017; et de l'Irlande en T3 2017. Certaines de ces ruptures affectent, dans une certaine mesure, les agrégats pour l’Union européenne, la zone euro et l’OCDE-Total.

 

b: Rupture de série
(1) Rupture dans les enquêtes sur les forces de travail de la Belgique en T1 2017; du Danemark en T1 2016 et en T1 2017; de la France en T1 2014; de l'Irlande  en T3 2017; du Luxembourg en T1 2015; et de la Turquie en T1 2014. Certaines de ces ruptures affectent, dans une certaine mesure, les agrégats pour l’Union européenne, la zone euro, les Sept grands et l’OCDE-Total.
 

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